Mardi 24 novembre, (Christel)

Navigation tranquille, nous croisons un banc de globicéphales au grand plaisir des enfants, Lison les confond avec les « bloguicéphales ».

Ce soir nous dormirons à Puerto San Sebastian de la Gomera. Ici, l’ambiance est très familiale mais un peu trop allemande et anglaise. C’était bien la peine de travailler mon espagnol !

Joyeux anniversaire Rosy qui est au milieu de l’Atlantique!

Mercredi 25, jeudi 26,vendredi 27 novembre, (Renan)

La nuit a été calme, les filles en profitent pour avancer sur le CNED, je bricole avec Erwan sur le bateau, il y a toujours des choses à faire. Ce soir nous dînons avec Jean-Marie et Katy du voilier Orange Bleue que nous suivons depuis notre arrivée au Canaries sans avoir pris le temps de s’inviter.

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Vendredi 20 novembre 2015,

Nous quittons la marina de bonne heure en direction de Ténérife, une grosse journée nous attend. Nous partons au moteur, puis le vent se lève et nous traverserons à la moyenne de 6,7 nœuds. Au travers part 30 nœuds de vent, le bateau marche bien et sommes régulièrement recouverts d’embrun. A 18h30 nous sommes amarrés à la marina San Miguel dans le sud de Ténérife, couverts de sel.

Joyeux anniversaire Audrey!

Samedi 21, dimanche 22, lundi 23 novembre 2015, (Christel)

Samedi, ce sera journée CNED pour pouvoir visiter l’île les 2 jours suivants. La marina n’est pas très jolie et entourée d’hôtels. Quand j’essaie de parler espagnol, on me répond toujours en anglais, c’est très frustrant ! Nous louons une voiture à un loueur qui lui aussi nous a parlé en anglais tout de suite. J’ai quand même essayé de placer mes mots espagnols jusqu’au moment où je comprends qu’il est anglais…

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Jeudi 12, vendredi 13, samedi 14, dimanche 15, lundi 16, mardi 17, mercredi 18, jeudi 19 novembre 2015,

Et voilà nous sommes au mouillage dans le grand port de Las Palmas. Le port de commerce est énorme, les navires de commerce de toutes sortes au mouillage. Pétrolier, vraquier, navire de recherche pétrolière, plate-forme et navire de forage etc… Autant vous dire que je ne suis pas perdu dans cet environnement, d’autant plus que les remorqueurs de Boluda assure les mouvements.

Le rythme du mouillage reprend ; CNED, bricole pour papa. Je remplace les batteries de servitude qui commencent à donner des signes de faiblesse, elles ne sont pas vieilles mais ne tiennent plus la charge nous obligeant à barrer régulièrement. J’en profite également pour faire reprendre la poulie de notre alternateur de ligne d’arbre de façon à charger nos batteries dès que nous passons les 5 nœuds.

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Jeudi 5 novembre 2015,

Plein eau douce fait, les coffres remplis, nous quittons la marina pour l’île de Lobos au nord de Fuerteventura

Vent d’Est 15 nœuds, mer belle, nous mettrons deux heures pour traverser.

Nous avons les lignes à l’eau en espérant pêcher un peu de poisson, mais c’est un oiseau que nous pèchons ?!? Un Puffin semble t’il. Il s’est précipité sur notre petit poulpe rose que nous trainons, a fait 5 minutes de ski nautique, 3 de cerf volant au bout de la canne à pêche, pour finir emmitouflé dans une serviette le temps de le décrocher. Il n’est pas bien gros, il ne suffira pas à nourrir l’équipage, nous décidons de le relacher. Il ne demande pas son reste, il redécolle de suite sans même nous faire un coucou.

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Lundi 2, mardi 3, mercredi 4 et Jeudi 5 novembre 2015,

Nous voilà à Lanzarote, à la marina de Rubicon à l’extrême sud de l’île. La marina est récente et ressemble à un décor en stuc. Tout est blanc, il y a même une piscine et tous les services nécessaires pour une bonne escale. Par contre, à peine sommes nous au ponton, que la première chose que fait l’agent du port est de mesurer la longueur du bateau afin de nous appliquer le tarif maximum. Nous payerons pour un bateau de 13 mètres alors que jusqu’à présent nous arrivons à payer pour 10,85 mètres, longueur inscrite sur les papiers du bateau. Bref, je râle mais rien n’y fait…

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